Badil (en arabe: alternative) est un site d’informations marocain qui couvre l’actualité de la politique, la culture, le sport, la cuisine, la vie privée des célébrités, et les aventures quotidiennes de son directeur Hamid El Mahdaoui.
El Mahdaoui mérite bien son nom qui signifie celui qui est encore au berceau, le gamin, ou le gosse. Mais malgré son jeune âge (intellectuel), l’oncle Hamid est un journaliste qui écrit des articles, et joue en même temps le rôle d’analyste géopolitique et socio-économique, et commente les informations qu’il publie en exprimant ses opinions qui n’intéressent personne. El Mahdaoui écrit généralement des articles semblables à des statuts Facebook, en quantité et en qualité, que même un élève de primaire peut écrire pour son devoir d’expression écrite. Pour cacher son bas niveau en matière de rédaction, Hamidou s’est tourné vers le multimédia, et produit des vidéos filmées dans son salon, sur les bords des autoroutes, ou dans la jungle, et où il traite de tous les sujets et insulte tout le monde.
El Mahdaoui est membre d’un escadron de mousquetaires qui comprend tous ses amis, à savoir deux avocats, un juge et un journaliste. Le plus célèbre de ceux-ci est le magistrat honorable, vertueux, honnête, courageux Mohamed El Haini, qui entretient une relation d’amitié exceptionnelle avec notre journaliste. El Haini apparaît dans la plupart des vidéos tournées par El Mahdaoui, et l’accompagne souvent dans ses voyages dans tous les coins du Maroc, où l’escadron organise des événements collectifs, tels que les sit-in, les manifestations, les mariages, les trips, les grèves de la faim, les barbecues, …
Akhnapress, étant un journal sérieux et indépendant, a décidé de prendre l’initiative pour sauver ce qui reste de l’honneur du journalisme au Maroc. En achetant Badil, on protège l’internaute marocain contre les conneries et les bêtises d’un de nos confrères qui a malheureusement perdu la boussole. En même temps, on épargne à notre ancien confrère de nouvelles amendes et des mois de prison dont il risque d’écoper par sa stupidité flagrante, et qui ne cesse de grandir chaque jour, laissant El Mahdaoui dans son berceau de fou gamin.
