C’est un projet auquel avait participé le défunt astrophysicien Stephen Hawking et qui s’est concrétisé il y a à peine quelques heures : la sonde spatiale marocaine qui a quitté l’atmosphère en décembre dernier vient de s’extirper de la Voie lactée. Nous avons mené l’enquête sur cette prouesse cosmico-marocaine.
Au commencement du projet, il y avait cette rencontre entre Stephen Hawking encore étudiant à Cambridge, encore en bonne santé, et une certaine chanteuse, encore en herbe, Haja El Hamdaouia, venue rendre visite à sa cousine H’niya à Londres.
Aussi apprenons-nous et de sources quasi-sûres que cette fortuite rencontre dans le quartier de Ladbroke Grove – surnommé affectueusement « Little Morocco »- avait changé le regard du futur grand scientifique. Sous le charme de la jeune marocaine, il aurait à ce moment commencé le développement d’un projet longtemps gardé secret : « Galactic Star Project.»
Stephen Hawking qui balayait fermement le paradoxe de Fermi, convaincu de l’existence de la vie extra-terrestre, avait donc à cœur de faire de Haja El Hamdaouia une star galactique. Il sollicita et mutualisa des dons gigantesques à ce dessein. On comprend alors pourquoi il n’a pas réussi de son vivant à concilier relativité générale et mécanique quantique, pris dans un projet encore plus complexe, galactique.
En effet, l’équipe de l’astrophysicien britannique avait identifié dès 1992 une anomalie gravitationnelle du côté de la face cachée de la lune. Les calculs d’Hawking ont démontré qu’il s’agissait d’un trou de ver ouvrant la voie d’une autre galaxie. Enfin, ces mêmes calculs ont permis de construire une sonde – la construction a quand même duré plus d’une vingtaine d’années, procrastination marocaine obligeait.
C’est du cœur de la ville de Guelmim que la sonde marocaine fut envoyée, surclassant les sondes Voyager 1 et 2. Cette sonde est désormais à des milliards d’années-lumière de la terre et elle inonde le cosmos de la voix de Haja El Hamdaouia, une star galactique officiellement.